GIEC – Mon oppostion

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  1. Premières sources de mon opposition aux thèses du GIEC quant à l’influence de l’homme sur le réchauffement climatique.

Je précise que je ne nie pas le réchauffement climatique, mais bien son origine humaine (le CO²)

J’espère que cela pourra vous éclairer.

Selon le premier rapport du GIEC, publié en 1990, il était très difficile d’attribuer à l’homme une influence sur l’évolution du climat mais il fallait rester vigilant.

Changement de ton dans le deuxième rapport publié en 1995 : celui-ci affirmait avec conviction qu’il était à présent constaté une « influence perceptible des activités humaines sur le climat. »

Il faut savoir que cette affirmation a été insérée après coup dans le rapport.

Dans le document original, il était dit que les scientifiques ne pouvaient mettre en évidence une influence des activités humaines sur le climat et qu’ils ignoraient quand ils seraient en mesure de la faire.

Ils disaient explicitement qu’ils ne le savaient pas.

Ce passage a été supprimé et remplacé par cette affirmation qu’il existait une influence perceptible des activités humaines.

Le changement est d’importance.

La modification apportée au document a fait du bruit dans la communauté scientifique. Ses partisans et opposants ont multiplié les déclarations.

La liste des corrections démontre à l’évidence que le GIEC est une organisation politique et non scientifique.

Quand le Dr Hansen a annoncé, pendant l’été 1988, que le réchauffement planétaire était en cours, , il prédisait une élévation des températures de 0,35 degrés dans les 10 années à venir. Il s’est trompé de 300 %, l’augmentation réelle fut de 0,11 degrés.

10 ans après sa déposition devant une commission parlementaire aux USA, le même Dr Hansen a déclaré en 1998, devant l’Académie nationale des sciences, que « les forces qui gouvernent les changements climatiques sont si mal comprises que toute prévision à longue échéance est impossible ». (ref : James E. Hansen, Makito Sato, Andrew Lacis, Reto Ruedy, Ina Tegen et Eliane Matthaws, « Dérèglements climatiques à l’ère industrielle », Débats de la National Academy of Sciences, 95, octobre 1998, p 12753-12758.)

De plus, même le GIEC, dans son rapport de 2001, a émis des restrictions. (ref : GIEC, changement climatique 2001 : la base scientifique, Cambridge, Royaume-uni, Cambridge University Press, 2001, p 774. « Dans les études sur le climat et la modélisation, il faut reconnaître que nous sommes devant un système chaotique non linéaire et que la prévision à long terme des états futurs du climat n’est pas possible ».

Voir aussi : GIEC, Changement climatique 1995 : la science du changement climatique, p 330. « la variabilité naturelle du climat sur de longues périodes continuera à rendre problématiques l’analyse et la détection du CO² dû au changement climatique »

Bien à vous,

Jean Pynnaert

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Sources scientifiques sur l’action du soleil sur notre climat contrairement aux affirmations du GIEC

Soleil, température et CO2

GIEC, Soleil, température et CO2SCE-info

Roland Van den Broek, Ingénieur civil
Henri Masson, Professeur (émérite) à l’Université Antwerpen

Lien vers cette étude :

Soleil, température et CO2

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Réaction des auteurs au fact-checking par l’AFP Belgique :